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Elle a chiffré entre 1 et 2 milliards d'euros les dépassements de dépenses laissés [url=http://qqgameol.com/dongzuo/4.html]moncler pas cher La Société générale confirme[/url] par le gouvernement Fillon en qualifiant [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] leur ampleur de "modeste".
On mesure aujourd'hui le risque de ne l'avoir pas dit et expliqué pendant la campagne. Non seulement les Fran?ais sont douchés mais la Cour des Comptes qui conna?t son affaire comme pas deux, semble s'être substituée au pouvoir politique. Elle ne se contente pas de décrire l'état des comptes, elle trace aussi le chemin à suivre en laissant entendre qu'il n'y a pas trente six solutions : la hausse de la CSG ou de la TVA lui semble inévitable de même que le gel du salaire des fonctionnaires ou le plafonnement en volume des dépenses de l'Etat.
Quand on les lisait, on se doutait que faire payer les riches et les [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] entreprises ne suffirait? pas, qu'il faudrait sans doute aussi solliciter les classes moyennes mais aussi réduire les dépenses publiques, ma?triser les effectifs et les salaires des fonctionnaires, mettre les collectivités [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] locales à la diète et?ma?triser?l'emballement des dépenses sociales.
Cela renvoie à la même incapacité qu'a eue Fran?ois Hollande, pendant la campagne électorale, de prononcer ce même mot de "rigueur" et d'en décliner toutes les composantes, alors qu'il connaissait la gravité de la situation .
Les avertissements de Didier Migaud ne datent en effet pas d'aujourd'hui. Dans chacun de ses rapports, la Cour des comptes a insisté sur la gravité de la situation.
Il est tout sauf banal qu'un ancien député socialiste décide [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] ainsi de siffler la fin de la récréation alors que ses amis socialistes ont quasiment les pleins pouvoirs. On peut y voir deux explications, aussi peu rassurantes l'une que [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin[/url] l'autre.
, le premier président de la [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] Cour des comptes, Didier Migaud, renvoie dos à dos les deux camps en constatant que "les déficits sont anciens"?et concernent par conséquent "les gouvernements de droite comme de gauche".
C'était devenu une sorte de tradition fran?aise?: chaque alternance politique appelait un audit des finances publiques qui n'était en réalité qu'un jeu de défausse.
On n'est pas très loin de la situation italienne où les techniciens ont pris le pouvoir car les politiques ont trop tardé à assumer le [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] leur.
La seconde est qu'il fallait bien que quelqu'un se dévoue pour [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler[/url] mettre les pieds dans le plat avant qu'il ne soit trop tard. Cela renvoie à l'incapacité qu'a eue Nicolas [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] Sarkozy d'assumer le? mot "rigueur" lorsque les choses ont commencé à vraiment mal tourner à l'été 2009.
Le nouveau gouvernement, qu'il soit de droite ou de gauche, demandait à des experts indépendants un état des comptes qui se révélait en général plus mauvais que prévu.
La surprise du jour est que la Cour des comptes a mis fin à ce jeu de bonneteau. Sollicitée pour la première fois pour mener l'audit, elle n'a pas chargé la barque [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] du bilan dans le rapport [url=http://www.mnfruit.com/abercrombie.php]abercrombie[/url] qu'elle a rendu public ce lundi 2 juillet.
Le nouveau premier ministre prenait alors à témoin l'opinion, qualifiait d'"irresponsable"?la gestion de son prédécesseur et définissait [url=http://speacle.com/profile.php?user=fielgtnl70s&v=comments]Understanding The Need For Coaching Supervision Courses[/url] une nouvelle stratégie censée faire entrer le pays dans le cercle vertueux de la croissance et de la réduction des déficits, avec les résultats que l'on sait.
Concrètement, cela veut dire que non seulement la France vit sous la pression des marchés mais risque, si rien n'est fait, d'être victime de l'effet boule de neige, les?emprunts?ne servant qu'à honorer les intérêts de la dette.
La première est que la situation est [url=http://www13.plala.or.jp/gakuki3/cgi_bin/aska/aska.cgi]ugg pas cher This Specific In[/url] tellement critique qu'on ne peut plus se défausser, ce qui est la stricte [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] vérité : la dette publique atteint près de 90 % de la richesse nationale cette année et menace, si rien n'est fait, de dépasser 100 % en 2017.