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Le Tha?landais , 32 ans, qui a vécu longtemps en Grande- avant de à Bangkok, [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] a choisi de les [url=http://www.icy-beauty.com/forum.php?mod=viewthread&tid=5775060&extra=]jordan pas cher Some Rooftop Bar Data You Ought To Start Thinking About.[/url] inondations qui ont affecté une partie de la capitale de la Tha?lande durant l'hiver 2011. Après couvert le drame pour la presse, notamment pour Le Monde, Miti s'est promené la nuit, dans une [url=http://www.youyoule.cn/space.php?uid=7&do=blog&id=22916]hollister france Partie de Monopoly sur le bouleva[/url] ville transformée par la montée des eaux. Bangkok, sous la lumière crue des réverbères, prend un aspect surréaliste. "J'ai voulu une ville dont certains quartiers avaient [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] perdu leur identité habituelle, c'était comme les images d'un mauvais rêve", observe Miti.
La Lay, 33 ans, met en scène la complexité de son itinéraire personnel. Pour symboliquement les liens avec un père disparu quand elle était encore très jeune, elle se fait [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] par son mari dans un village de province, vêtue comme un homme, le visage couvert d'un masque blanc pour sa féminité, la tête couverte du turban traditionnel des Birmans, et pose en compagnie de villageois à l'expression [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] sombre. "J'ai d? leur que je voulais avec eux mon attachement à la communauté villageoise en exaltant la mémoire de mon père", explique la photographe, qui vit à Rangoun. "Un père disparu trop t?t, pour la birmane, c'est se dans un monde dépourvu soudain de sécurité", dit-elle, et l'on comprend alors les raisons de cette recréation d'une famille artificielle par le biais de la mise en scène photographique.

Le Keomakara était le régional de l'étape, et son portrait de jette sur une ville en plein essor et en reconstruction permanente une lumière inhabituelle. Il a bricolé son objectif en pla?ant une feuille de papier lui permettant de en panoramique. Le résultat est un Phnom Penh en plan large et rectangulaire qui montre les de la vie quotidienne, rangées de cyclo-pousse à l'arrêt, restaurants ambulants, rues à l'abandon. "On voit normalement à 80°, j'ai voulu une ville à 180°", sourit-il. C'est un peu ce qu'ils ont tous voulu , ces jeunes photographes des pays du Mékong : un autre regard, distancié, sur le réel.
Le Laotien Ka Xiong, 24 ans, d'ethnie Hmong - ceux que les Fran?ais appelaient "Méos" au Vietnam -, a pris le parti de symboliquement les esprits, ces ?mes mortes qui r?dent la nuit dans les montagnes du Haut Laos, près de sa ville de Luang Prabang. "Nous sommes des animistes, mon enfance a été [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] bercée par les histoires d'esprits. J'appartiens à [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] mon [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan pas cher[/url] époque : j'ai fait des études de graphisme qui me poussent vers le rationnel. Mais il y a en moi la part de croyances ancestrales qui m'attirent vers les zones d'ombre", explique-t-il. Le résultat est surprenant : des silhouettes éclairées par le phare de sa , dans la nuit du Laos, qui forme autour des personnages comme des auras de couronnes dorées. Un travail très conceptuel où la réalité est absente : un monde flou, flottant.
Le Dang, 27 ans, choisit, lui, de une réalité tragique : le destin des enfants victimes du tristement célèbre "agent " déversé par les Américains lors de la guerre du Vietnam. Dang a passé de longs moments dans un centre d'accueil [url=http://hccweb1.bai.ne.jp/naniwa/kaiga/cgi-bin/aska.cgi]barbour uk outlet La liste H[/url] pour ces jeunes, parfois trisomiques, dont la vie est ralentie par de graves troubles [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] nerveux. Il a suivi Hanh, l'un d'eux, qui va se avec une résidente du . Chaque photo est multipliée par le collage de plusieurs clichés qui donnent le sentiment d'un temps ralenti : "Pour eux, tout est compliqué, il faut des heures pour l'émotion, je me suis aper?u que le mélange de photos différentes permettrait de mieux la personnalité de mes personnages", explique l'artiste.
?Leurs champs d'intérêts divergent, leurs approches sont différentes mais la géographie les réunit : cinq photographes de pays d'Asie du Sud-Est traversés par le Mékong - la , la , le , le et le - viennent d' leur diversité créatrice dans le cadre du 5e festival Photo Phnom Penh, organisé du 8 au 13 décembre par l'Institut fran?ais de la capitale cambodgienne.
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Le Monde.fr a le [url=http://www.lcdmo.com/jordanpascher.php]jordan pas cher[/url] plaisir de vous la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les articles réservés [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] du Monde.fr en
"Ces cinq photographes représentent une réalité de ce bassin géographique, chacun s'exprimant en une esthétique très différente mais en balayant le champ [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] de la photographie, du documentaire au conceptuel", précise , directeur artistique du festival.