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L'idée que les sexes ne se valent pas, que "les filles seraient, par nature, plus dociles, plus tournées vers la littérature et la communication, les gar?ons, par nature, plus dissipés, plus doués pour les " reste répandue.
SEXISME
Et l'école, qui "n'est pas seule responsable du poids de ces stéréotypes, ne parvient pas à les efficacement". Pire, le rapport note que les enseignants eux-mêmes les intègrent parfois. Cela a des conséquences sur la scolarité des filles : orientation biaisée et prévention à l'encontre des études scientifiques. Elles sont aussi les premières victimes de violences.
Et, de ce [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] point de vue, "le relativisme culturel [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] de certains enseignants est dangereux", car il peut également ce type de repli. Le rapport met donc en garde contre la tentation de "survaloriser les différences". Le risque est d' une dynamique qui entra?ne exclusion, stigmatisation, harcèlement et violences envers ceux qui sont différents.
Malgré "l'attention" portée à cette question par le ministère, les manifestations homophobes "ont tendance à se banaliser", dénoncent les auteurs. Face à ce phénomène, les réactions et les sanctions de l'école s'avèrent "insuffisantes", ce qui conduit à "légitimer des attitudes, des propos et des violences".
Ce texte d'une soixantaine de pages, annexes comprises, a été rédigé par un groupe de travail de dix personnes qui a mené d'octobre 2009 à mars 2010 une cinquantaine d'auditions. C'est dans le cadre de la [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] lutte contre les discriminations, affichée comme une priorité par , que ce groupe a été créé.
chacun dans [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] la communauté républicaine, est minée par des discriminations face auxquelles elle para?t bien impuissante. Tel est le constat d'un rapport confidentiel qui sera officiellement remis au ministre de l'éducation nationale en septembre, et que Le Monde s'est procuré.
En presque dix ans, le nombre d'enfants handicapés accueillis dans les établissements ordinaires a doublé, passant de 90 000 à 175000. Pourtant, "la peur" de l'élève différent fait encore des ravages alors que cette d'accueil visait précisément à les préjugés.
RACISME, ANTIS?MITISME ET X?NOPHOBIE
D'autres références s'installent. Ainsi, "diverses formes de replis communautaires amènent des tensions. Certains élèves se disent étrangers à la communauté nationale, alors même qu'ils [url=http://www.hezhoumh.com/home.php?mod=space&uid=43433][/url] sont fran?ais. Ils manifestent ainsi leur révolte face à des discriminations subies en raison de leur nom ou de leur origine. Ils ont alors la tentation de se réfugier dans des identités parfois de nature religieuse, attitude qui engendre à son tour racisme et islamophobie."
Pourtant, les conséquences sont graves pour les victimes, du décrochage scolaire à la tentative de suicide. Il [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister france[/url] y a là urgence à . "La première cause de mortalité chez les collégiens est le suicide, rappelle-t-on dans l'entourage de M.Chatel. Et la première raison en est l'orientation sexuelle."
Lors des auditions, d'aucuns ont déploré que "les filles [soient] considérées comme 'inférieures' et très souvent insultées" par les gar?ons. Si "les violences sexistes et sexuelles ne renvoient en rien à telle ou telle ", lit-on dans le rapport, "le refus de la mixité ou les violences à l'égard des filles se produisent parfois au nom de convictions culturelles ou politico-religieuses". Et, face à cela, l'institution reste désarmée.
Sur cette question sensible, le groupe de travail constate "une prise de conscience progressive, mais une banalisation des injures et des actes". Ces discriminations se manifestent particulièrement dans "l'accès [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister[/url] aux stages et dans [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] l'orientation postbaccalauréat".
Globalement, ce constat conduit les auteurs du rapport à également "la détérioration du ensemble", lequel peut p?tir de la [url=http://www.ktbruce.co.uk/hollisteroutlet.php]hollister outlet[/url] quête identitaire d'adolescents en construction, surtout "lorsque les repères ne sont pas clairement donnés par les adultes".
L'Agence de développement des relations interculturelles pour la citoyenneté, citée dans le texte, évoque "les difficultés des acteurs du système éducatif à se face au sexisme de certains jeunes par peur de vers le racisme".
Les enseignants peuvent également se "désarmés" devant des [url=http://cgi.ebay.com.au/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=110854464629]hollister france La blague au[/url] accusations de "racisme" lorsqu'elles sont utilisées pour une mauvaise note, par exemple.
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L'entourage de M.Chatel précisait d'ailleurs, mardi 17 ao?t, que "l'action actuellement menée serait amplifiée par de nouvelles mesures". De fait, le constat dressé par le rapport est préoccupant, notamment pour les discriminations "le plus fréquemment observées" : le handicap, le [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] sexisme, l'orientation sexuelle ou l'origine.
HANDICAP
Mais il ressort également des auditions que l'assouplissement de la carte scolaire "a renforcé la [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] ghetto?sation". De [url=http://www.gohausgo.com/2013/08/pssst-an-entertaining-trick-of-mine-up-on-brooklynlimestone-com/#comment-237367]5 Hotel Murah Terbaik Di Bali[/url] même, "un risque de discrimination sociale et ethnique a été pointé dans l'organisation interne de l'établissement par le biais de la composition des classes". Sans des Roms, confrontés à des "préjugés qui rendent difficile l'accueil durable sur un territoire", et donc la scolarisation.
ORIENTATION SEXUELLE
Les parents "craignent que la présence d'un élève handicapé dans la classe n'induise une moindre performance scolaire de leur enfant", constate le rapport. De ce fait, "la discrimination est encore très présente", qui se traduit notamment par "l' de certaines activités, voire d'enseignements", déplorent les auteurs.