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Par ailleurs, le président russe et son homologue américain "ont chargé le directeur du FSB [Alexandre] Bortnikov et le directeur du FBI [Robert] Mueller d'être en contact permanent et de des solutions", a déclaré le chef du Conseil de sécurité russe, Nikola? Patrouchev, [link widoczny dla zalogowanych] à l'antenne de la cha?ne Rossia 24.
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"Le gouvernement américain répondra de manière appropriée à nos partenaires via les réseaux du renseignement et de la diplomatie ", a-t-il précisé dans la droite ligne de ce qu'a déclaré lundi, depuis la où il est en voyage officiel, le président Barack Obama. "Nous n'allons [link widoczny dla zalogowanych] pas publiquement des détails d'un programme présumé de renseignement mais nous avons été clairs sur le fait que les Etats-Unis, comme les autres pays, réunissaient des informations d'ordre ", a-t-il dit.
L'ancien consultant, réfugié dans la zone de transit de l'aéroport de Moscou, peut en Russie s'il "cesse de du tort" aux Etats-Unis, a estimé lundi 1er juillet le président russe, Vladimir Poutine. "S'il veut ici, la condition, c'est qu'il cesse ses activités visant [link widoczny dla zalogowanych] à du tort à nos partenaires américains, peu importe que cela puisse para?tre étrange venant de ma part", a [link widoczny dla zalogowanych] déclaré M. Poutine lors d'une conférence de presse.
Le département d'Etat américain a néanmoins affirmé lundi que l'ex-consultant restait un citoyen américain et qu'à cet égard il aurait droit à un " équitable" s'il rentrait chez lui, précisant que l'administration pourrait lui un "document de unique" en vue de son rapatriement.
"Hier [dimanche] à 22 h 30, [link widoczny dla zalogowanych] la citoyenne [link widoczny dla zalogowanych] britannique [membre de voyageant avec M. Snowden] s'est présentée au service consulaire de l'aéroport de Cheremetievo et a transmis une demande d'asile politique de Snowden" en Russie, a précisé ce responsable.
à la , a déclaré lundi 1er juillet un responsable des consulaires russes, confirmant une information .
Le porte-parole adjoint de la américaine [link widoczny dla zalogowanych] a refusé de préciser quelle serait la réaction [link widoczny dla zalogowanych] de Washington si la Russie accordait l'asile à Edward Snowden. "Nous n'en sommes pas là. Nous allons de à notre point de vue et nous espérons que (les Russes) prendront la bonne décision", a ajouté .
Par ailleurs, , sur la foi d'une source anonyme au sein du ministère des russe, qu' a remis [link widoczny dla zalogowanych] aux autorités de Moscou des demandes d'asile pour quinze pays. La source du journal californien n'a pas fourni la liste [link widoczny dla zalogowanych] des Etats concernés.
SNOWDEN AURA DROIT ? UN "PROC?S ?QUITABLE"
"La Russie ne livre jamais personne, et elle n'a pas l'intention de le . Dans le meilleur des cas, nous avons échangé des agents de notre renseignement extérieur contre [des individus] arrêtés et condamnés en Russie."
VLADIMIR POUTINE : "LA RUSSIE NE LIVRE JAMAIS PERSONNE"
LE FBI ET LE FSB DOIVENT S'ENTENDRE
"[Edward Snowden] ne se considère [link widoczny dla zalogowanych] pas comme un agent des services secrets, il se considère comme un défenseur des droits de l'homme, un nouveau dissident, quelque chose comme Sakharov", a encore dit M. Poutine, évoquant le célèbre dissident soviétique Andre? Sakharov.
Cette annonce intervient alors que le sort d'Edward Snowden, qui a déjà passé une semaine en transit dans l'aéroport de Moscou, est toujours très incertain. Coincé entre Hongkong, qu'il a fui le 23 juin, et l', auquel il a demandé l'asile mais qui n'est plus guère enthousiaste à l'idée de l', il a vu son passeport annulé par les Etats-Unis.
"Mon opinion est que la demande au gouvernement russe pourrait régler définitivement la situation de M. Snowden", a déclaré le président équatorien lundi dans un entretien exclusif avec l'AFP. "Nous ne pouvons pas une demande d'asile (...) car il n'est pas en territoire équatorien". Si il souhaitait déposer une demande, il faudrait qu'il "parvienne à l'ambassade" équatorienne à Moscou, a-t-il expliqué.
Le président russe a également affirmé que la Russie ne livrerait pas l'ex-consultant aux Etats-Unis. La Russie ne "livre jamais personne", a déclaré .
Vladimir Poutine a de nouveau affirmé que les services de renseignement n'étaient pas entrés en contact [link widoczny dla zalogowanych] avec l'ex-sous traitant de la NSA : "Il n'est pas notre agent et ne coopère pas avec nous. Nos services secrets n'ont jamais travaillé avec lui et ne travaillent pas avec lui maintenant."
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