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Il n'est d'ailleurs quasiment plus une série où ne figure au moins un personnage homosexuel : les soutiens du y [url=http://www.ishibashi.co.jp/Band_Web/Yoshiko_Nomura/bbs/bebesu.cgi]hollister france Thomson Gran[/url] verront une normalisation, les autres un affadissement de la subversion.
La mise en perspective des traitements dramaturgiques des [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] personnages montre à quel point les séries télévisées ont [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] toujours été à la fois le reflet et l'aiguillon de la société. Prenons le cas des femmes à l'écran, traité dans le deuxième épisode. Lucy Ball, dans "I " (1951-1957), sera le modèle, encore phallocratisé - comme disaient mes copines féministes il y a trente ans -, du personnage incarné par [url=http://www.ptlctj.gov.cn/rkpc6/E_GuestBook.asp]www.achban[/url] Moore dans "The " (1961-1966), puis dans "The Mary Tyler " (1970-1977).
à d'extraits de soap operas, comme on appelait les séries autrefois, et d'entretiens avec leurs principaux protagonistes : les acteurs mais aussi les scénaristes, qui constituent leur vraie force motrice.
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On ne mesure pas, de ce c?té de l'Atlantique, à quel point cette jolie jeune femme sportive, qui portait des pantalons cigarette et des sweaters moulants, défraya la chronique par la liberté de ton de son personnage à une époque où les [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] Etats [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] les plus [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] puritains des Etats-Unis n'autorisaient pas qu'on pronon??t le mot "enceinte" à la télévision. On imagine d'autant mieux la réaction du téléspectateur moyen lorsqu'il entendit, au début des années 1970, cet échange entre une mère et sa fille [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] (jouée par ) : "Chérie, n'oublie pas de ta pilule ! - Compte sur moi, maman..."
Les quatre pétroleuses de "Sex and the City" (1998-2004) lui doivent beaucoup, comme , la mère de dealeuse de marijuana dans "Weeds" (2005-2012), ou les droguées, lesbiennes et grands-mères nymphomanes texanes de la série méconnue "Sordid Lives" (2008). Mais ces audaces n'ont été possibles qu'avec l'avènement du c?ble.
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