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En outre, la flambée des prix des fait un peu peur au marché. Depuis quelques mois, [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] les cours du riz, du blé, du cuivre (10 000 dollars la tonne [url=http://www.zlcgjd.gov.cn/guestbook.asp]moncler pa[/url] !) et du semblent incontr?lables. Or ces hausses ont des effets pervers.
Pour les analystes de Citigroup, le mouvement ne devrait pas s'arrêter. Ils anticipent un total de 2 900 milliards de dollars sur l'année (soit une progression de 32 % par rapport à 2009). Au-delà de ces chiffres impressionnants, l'appétit des entreprises [url=http://gj-w.com/home.php?mod=space&uid=194202][/url] pour des rachats tend à qu'il existe une certaine confiance dans l'.
l'événement et s' Wall Street : celui du redémarrage de la "job machine", l'. Seul frein à leur enthousiasme, les statistiques économiques, qui ne démontrent toujours pas que la première économie mondiale est totalement sortie d'affaire.
La de New York et, avec elle, les principales places européennes progressent donc, sans toutefois s'. Ainsi, sur la semaine du lundi 31 janvier au vendredi 4 février, l'indice Dow [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] Jones est parvenu à 2,27 %, tandis que le CAC 40 grignotait 1,12 % à 4 047 points, quand le DAX, à Francfort, prenait 1,60 % et le Footsie de Londres, [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] 1,97 %.
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De fait, les investisseurs restent résolument optimistes. Les résultats des demeurent, pour la plupart, biens orientés. C'est le cas du pétrolier Exxonmobil, du laboratoire pharmaceutique Pfizer ou encore du groupe américain de messagerie UPS.
En outre, les opérations de fusions et [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] acquisitions qui, traditionnellement, stimulent les marchés, redémarrent. Selon les données recueillies par Thomson Reuters, le mois de janvier a même atteint un record. La valeur des opérations annoncées a atteint 243 milliards de dollars (179 milliards d'euros), soit 47 % de plus qu'en 2009. Du [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] jamais-vu depuis janvier 2000.
En janvier, les créations d'emplois nettes ont été médiocres : 36 000, selon le département du [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] travail. Quatre fois moins que ce qu'attendaient les analystes et trois moins que le chiffre de décembre 2010.
Mais sur la même période, le taux de ch?mage est tombé de 9,4 % à 9 %. Pourquoi ? Comment ? La faute aux tempêtes de qui ont bloqué [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] les travailleurs tout en empêchant les ch?meurs d' au P?le emploi américain, expliquent les experts. En bref, ces chiffres ne disent pas grand-chose. "On a du bruit dans les oreilles mais on ne sait pas quelle est la mélodie", résume Bruno Cavalier, chef économiste chez Oddo.
Soulagement néanmoins. Le soulèvement populaire en n'a pas, jusqu'ici, suscité la panique du marché. Inquiets un temps sur le sort du canal de Suez, par où transite une partie du pétrole, et d'un risque de contagion de [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] la crise à des pays stratégiques, les investisseurs ont [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] invalidé les scénarios catastrophes et estimé que, si contagion il y avait, elle mena?ait davantage un pays comme le Yemen que l', cruciale pour l'approvisionnement en pétrole. Un soulagement ? "Les marchés sont cyniques", rappelle , analyste chez Aurel BGC.
Mais depuis la crise [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] de 2008, les [url=http://www.oneg.zakkaz.ne.jp/~saya/cgi-bin/joyful/joyful.cgi]barbour La totalité des abatt[/url] investisseurs ont appris à leur sang-froid. Surtout quand les données macroéconomiques restent en demi-teinte. C'est le cas du marché du travail aux Etats-Unis.
D'une part, elles pénalisent certains industriels, tels Procter & Gamble ou Colgate, qui voient leurs co?ts de fabrication déraper. D'autre part, cette flambée provoque des tensions inflationnistes dans les pays émergents et notamment en . Sur le marché, on s'interroge sur la fa?on dont la banque centrale chinoise va ce problème. Si la croissance en p?tira, un peu ou beaucoup. En partie pour cette raison, l'action du groupe de LVMH, exposé en Asie, n'a pas tiré profit de résultats 2010 pourtant spectaculaires.