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beioiog7y3l
Wysłany: Wto 10:33, 24 Wrz 2013
Temat postu: doudoune moncler Comment lAmérique a bascul
?
Ce que montre d'abord le livre de Jeff Madrick, c'est que plus les produits financiers étaient dérégulés et se multipliaient, plus la régulait l'économie générale et imposait sa volonté aux politiques. Aujourd'hui, on constate que les mécanismes de l'économie financière ont préservé l'essentiel de leur prééminence, et que l'idéologie qui l'a accompagnée, un moment ébranlée sous l'effet de la crise financière de 2007-2009, est parvenue à préserver son influence non seulement sur les grandes lignes de la pensée économique américaine mais aussi, sans doute, sur les perceptions populaires.
Jeff Madrick : "Age of Greed - of Finance and the Decline of America, 1970 to the Present"
Qui a écrit ces fortes pensées ? Roosevelt ? L'économiste keynésien Galbraith ? Vous n'y êtes pas. Il s'agit du président des Etats-Unis (1952-1960) Dwight D. Eisenhower, dans une lettre à son frère du 8 novembre 1954. Au fait : ce président, ex-général, était aussi républicain - élu comme tel. Comme quoi, à ses dirigeants pr?ner aujourd'hui les mesures que leur ancien récusait férocement, si ce parti s'appelle toujours du même nom, il a beaucoup changé.
Il met surtout au jour le r?le souvent bien plus essentiel tenu par des personnalités moins connues, en dehors des spécialistes : , l'homme qui a créé la "banque à risques" et inspirateur du lobbyisme bancaire moderne ; , l'économiste qui [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] rendit confiance aux antikeynésiens ; , l'avocat d'affaires, cerveau des premières fusions-acquisitions et OPA, qui inaugura le recours à l'emprunt comme arme de destruction massive aux mains de la finance, jusqu'aux banquiers plus contemporains qui, a défaut d' laissé leur culotte dans la crise, y ont perdu leur réputation (Stan O'Neal, ) ou leur honneur (Richard Mozillo, ).
("Une ère de cupidité : le triomphe de la finance et le déclin de l'Amérique, de 1970 à nos jours", éd. Knopf, 2011, [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] non traduit en fran?ais). Universitaire, l'auteur [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] fut économique du sénateur et collabore aujourd'hui à la "New of Books".
Les descriptions des protagonistes et de leurs batailles, manoeuvres, initiatives audacieuses, coups bas et méfaits, rythment la lecture de ces quarante ans de poussée vertigineuse de la finance américaine. Mais la [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] puissance de conviction du livre tient, d'abord, à la chronique d'un phénomène plus général : comment "un groupe, pas plus grand qu'une écharde" au départ, a su et pu, à force de détermination et d'ingéniosité, et en démontrant au secteur financier tout le bénéfice qu'il tirerait à l', reconfigurer la structure même de l'économie américaine et son de pensée, fondé sur la dérégulation extrême, jusque dans les têtes de ses adversaires.
Dans une interview au bimensuel Republic, en février, , secrétaire au Trésor de , disait n' "aucun enthousiasme (à l'idée) de réduire l'importance relative du système financier" dans l'économie. La dernière phrase d'Age of Greed est : [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] "L'Amérique n'a pas tourné la page."
Ce double basculement, d'un c?té, l'abandon puis le rejet radical par les républicains de l'héritage du , de l'autre, l'adhésion croissante des élites politiques démocrates à l'économie financière [url=http://qzmuseum.net/Review.asp?NewsID=139]Mon banquier me fait du chantage, quel recours SOS conso[/url] et aux thèses ultralibérales qui l'ont nourrie [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] et qui s'en sont nourries, est décrit par le menu dans un livre récemment paru aux Etats-Unis : Age of Greed ("Une ère de cupidité"). Son auteur, , en économiste politique autant qu'en historien, y remonte aux racines lointaines qui ont généré la "grande récession" qui s'est abattue sur son pays. Il en campe les figures de proue (Milton Friedman, , etc.) et d'autres plus misérables mais révélatrices (les financiers-fraudeurs et ).
?
Si un parti cherchait à la Security (caisses publiques de retraites et divers autres programmes sociaux) ou l'assurance-ch?mage, à éradiquer les lois du travail et les subventions aux agriculteurs, n'en entendriez plus jamais dans notre histoire politique. Certes, il existe un groupe pas plus grand qu'une écharde qui croit en ces choses : quelques milliardaires [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] pétroliers texans (...). Mais leur nombre est négligeable et ils sont stupides."
cypel@lemonde.fr
De même que la logique du New Deal [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] avait précédemment influencé en profondeur le camp républicain - Madrick cite son président déclarant, en 1970, "Je suis désormais keynésien" -, de même, la théorie économique qui a accompagné l'ascension du capitalisme financier américain a-t-elle essaimé profondément dans le camp opposé, les présidents démocrates Jimmy et plus encore Bill Clinton s'entourant d'économistes "désormais friedmaniens".
Il n'est pas le seul. C'est , un secrétaire au Trésor démocrate de l'administration démocrate de , qui dérégula les produits financiers dérivés et qui fit , en 1999, le [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] Glass Steagall Act, une loi adoptée au début de la présidence de Franklin D. Roosevelt et [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] qui, au grand dam des financiers de l'époque, imposa une séparation étanche entre banque de dép?t et banque d'affaires. La première conséquence de [url=http://cnyz.tk/home.php?h=129&app=blog&id=40003&user_id=129]woolrich bologna Crachin grec pour François Hollande[/url] l'abrogation de cette loi [url=http://book.gtnhjy.com/wygkcn_GuestBook.asp]boots ugg[/url] fut de la création de la plus grande banque américaine "hybride", Citigroup. La même qui, huit ans [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] plus tard, affichera les pertes maximales pour son secteur dans la . Accessoirement, M. Rubin avait entre-temps fait un court passage [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] à sa présidence...
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