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Wysłany: Nie 8:20, 22 Wrz 2013 Temat postu: boots ugg pas cher Dix ans après, le désas |
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Symbolique entre toutes est la [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] présence sur ces bancs de M.Trichet. Contre l'avis du [url=http://www1.shenhua3g.com/bbs/read.php?tid=1058145]boots ugg pas cher Le Conseil constitutionnel valide le statut des juges siégea[/url] parquet, qui avait retenu un non-lieu pour l'actuel gouverneur de la Banque de France - promis depuis 1998 à la succession de à la tête de la Banque centrale européenne en juillet2003 -, le [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] juge a décidé de le devant le tribunal comme l'un des acteurs du désastre [url=http://www.gotprintsigns.com/hollisterpascher/]hollister paris[/url] qui a co?té près de 15milliards d'euros aux publiques.
, président du Crédit [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] lyonnais de 1988 à 1993; , actuel gouverneur de la , ancien directeur du Trésor; , son adjoint de l'époque; ère, ancien gouverneur [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] de la Banque de France.Devant le tribunal correctionnel de Paris, ceux-là et quelques autres doivent répondre, à du lundi 6janvier, d'un chiffre: 1,848milliard de francs (281,7millions d'euros), le déficit du Crédit lyonnais pour l'année 1992 tel qu'il a été adopté lors d'un conseil d'administration de la banque, le 26mars 1993. Il leur vaut de compara?tre pour "présentation de comptes inexactset complicité", "diffusion d'informations fausses ou trompeuses et complicité", "répartition de dividendes fictifs et complicité".
Surtout, ce souci semble été largement partagé par les autorités de tutelle. Il est au c?ur de la question de leur responsabilité dans la présentation de comptes falsifiés. Alors que le franc était pris dans une [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] incessante tempête sur les marchés des changes, était-il politiquement et économiquement envisageable pour la Commission bancaire (placée sous la tutelle de la Banque de France) que la première banque publique du pays ne respecte pas le ratio ? M.Haberer a été formel pendant l'instruction.Au cours d'une confrontation en juillet2000 avec M.Trichet et M.de Larosière dans le bureau des juges Philippe Courroye et Jean-Pierre Zanoto, il a affirmé que des "instructions" précises avaient été passées par le gouverneur de la Banque de France de l'époque auprès du secrétaire général de la Commission bancaire, Jean-Louis Butsch (décédé depuis) pour étaler le risque et un ratio de solvabilité qui ne soit pas inférieur à 8,20%, ce qui impliquait un report des provisions sur plusieurs exercices.Il a précisé que ces "instructions" avaient été concertées entre M.de Larosière et M.Trichet. Pour l'accusation, la Banque de France n'aurait donc pas été simplement informée de l'arrêté des comptes de 1992, mais "consultée sur le niveau de la perte à afficher".
Plus qu'un financier, c'est donc celui d'un système et d'une époque où se mêlaient étroitement considérations politiques et contingences économiques qui s'ouvre. Lorsque, en 1992, les dirigeants de la banque publique ont choisi de provisoirement certaines provisions pour présenter des comptes en apparence rassurants, qui décidait et qui [url=http://colombiansoulmates.com/profile.php?uid=1]nike air jordan pas cher Le Congrès américain a[/url] savait? Quelle était l'autonomie du Crédit lyonnais à une époque où la Banque de France disposait encore du monétaire et où le Trésor était tout-puissant? Autrement dit, la quasi-faillite du Crédit lyonnais peut-elle être imputable aux seuls dirigeants de la banque publique, au premier rang desquels son PDG, M.Haberer, qui tenait à l'objectif du doublement des résultats en trois ans qu'il s'était fixé à son arrivée en 1988 et qui ne voulait pas appara?tre dans une situation de faiblesse au moment où son mandat d'administrateur arrivait à échéance, ou doit-elle être partagée par l'ensemble des autorités de tutelle?
En cette année 1992, le premier ministre, Pierre Bérégovoy, est confronté à une profonde crise économique et monétaire, qui grève lourdement la popularité de son gouvernement à quelques mois des élections législatives. Fleuron des banques publiques, le Crédit lyonnais s'est engagé sous la direction de M.Haberer dans une stratégie offensive, multipliant les acquisitions à haut risque. Or elle va une nouvelle norme internationale dont l'entrée en vigueur est fixée au 1erjanvier 1993, le ratio Cooke, qui fait obligation aux banques de de fonds propres à hauteur d'au moins 8% des distribués. Dans les comptes du Crédit lyonnais arrêtés en mars1993, le fameux ratio Cooke s'établira justement à 8,20%.
Au fil des 170 pages de l'arrêt de renvoi, ce ratio Cooke fait figure de principal accusé. Pendant l'instruction, M.Haberer a reconnu: son entrée en vigueur "nous a amenés à nos poches pour à à [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] cette réglementation". S'appuyant sur plusieurs documents saisis pendant l', l'accusation estime que "les comptes de l'exercice 1992 ont été arrêtés en inversant les termes des facteurs: le résultat n'a pas découlé du revenu brut d'exploitation et des charges de l'exercice.Il a été déterminé en fonction d'un niveau de perte maximum permettant de le ratio Cooke".
Dès l'ouverture du [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] procès des comptes du Lyonnais, son report possible sera présent dans les esprits. Le procureur de Paris avait indiqué, le 18décembre, [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] que la transmission au parquet de l'expertise comptable de la Cour de de la République sur les comptes 1992 de la banque pouvait sa position sur la date du procès. Selon lui, cette expertise exigeait une analyse plus approfondie. Estimant que ce document ne pouvait pas être disjoint [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] de l'affaire principale, il joignait finalement cette pièce au procès principal, par le biais d'une citation directe, laissant ouverte la possibilité d'un report. Le parquet peut au tribunal de se sur la nécéssité d' un délai supplémentaire pour étudier l'expertise. Certains avocats peuvent, pour leur part, que, faute de temps pour connaissance de cette expertise, les droits de la n'ont pas été pris en compte, et pour un report. Le tribunal a le dernier mot et peut, à loisir, , la question au fond ou décider que le procès peut se , s'il estime que l'expertise n'apporte pas d'éléments nouveaux.
C'est cette deuxième hypothèse qui a été retenue par l'accusation. Selon l'arrêt de renvoi, le fameux chiffre de 1,848milliard de francs de déficit aurait fait l'objet d'un accord au plus haut niveau de l'Etat, entre les dirigeants du Crédit lyonnais, de la Banque de France, de la Commission bancaire [url=http://frag.clanmark.com/index.php?site=forum_topic&topic=null]jordan pas cher Some Hints On Advertising And Mark[/url] et du Trésor pour la déb?cle financière de la banque et éviter une "crise systémique" sur la place de Paris.
ACQUISITIONS ? HAUT RISQUE
Dans ce renvoi en cascade des responsabilités entre [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] les dirigeants de la banque publique et ses autorités de tutelle, le tribunal pourra-t-il éviter de , pendant les cinq semaines [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] prévues pour ce procès, la question du r?le précis qui revient à la première d'entre elles, l'autorité ?
Le report du procès est toujours possible |
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